La Passerelle et le centre NADJA vont mener une réflexion sur le changement de point de vue concernant l’usage des outils numériques par les professionnels belges et français intervenant dans le champ de l’éducation et de la santé (santé mentale comprise). Pour cela, ils vont interviewer 20 professionnels français et belges. La question est de savoir si le confinement à modifier les façons de travailler, et si oui, si ces nouvelles méthodes resteront dans l’après-confinement et dans le futur. Il s’agit aussi de voir si les moyens mis en place peuvent être mutualisés entre les deux pays. Le microprojet consiste à réaliser un documentaire sur les représentations du numérique auprès de professionnels et d’usagers. Le point de départ du sujet sera les changements de représentation induis par le confinement résultant de la pandémie mondiale de Coronavirus. Il s’intéressera aux changements sociétaux, ainsi qu’aux changements qui se sont opérés dans les pratiques professionnelles, ceux qui ont été abandonnés et ceux qui ont été conservés.